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CENTENAIRE 1914-1918 chez Brisson-Jonchère

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La mobilisation générale du 2 Aout 1914, est représentée par l'affiche de l'époque en image de fond, le personnage sur la plaque de muselet n'a pas été identifié par nous à cet instant.

Le recrutement fait appel aux hommes de la conscription et les réservistes. Un jeune garçon non encore poilu figure sur la plaque ci dessous.

L'équipement des soldats, et leur attribut capillaire, les fait surnommer les poilus, une représentation de cet homme à la moustache galopante, bien connue et employée dans de nombreuses circonstances figure sur la plaque Brisson-Jonchère.

Au fur et à mesure des combats et des souffrances collectives, ils deviennent frères d'armes.

Ici des membres du 114 eme régiment d'infanterie posent avec leur drapeau en guenilles.

Certains obtiennent des distinctions pour leur faits d'armes.

La croix de guerre qui est couplée sur la plaque du champagfne Brisson-Jonchère avec le logo des évènements liés aux commémorations du centenaire. Il en existe 4 modèle avec des attributs palmes et étoiles dans différents matériaux selon la valeur estimée du comportement du personnel distingué.

Une sixième plaque représente Le tigre, Le père la victoire lui même, par une caricature à la tribune du dessinateur Noel Dorville.

Voici donc les images originales qui ont été employées pour figurer sur cette série commémorative.

Les fables de la Fontaine

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Le Champagne et les Fines Bulles

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Sur les jupes de ces plaques qui nous intéressent, selon que le générique soit de crémants ou bien de champagne, la distinction est évidente.

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Pour une plaque présentant une bouteille, il se doit d'être également sans ambiguité concernant l'origine du breuvage, et l'habillage de la représentation imprimée est donc en accord avec le produit qui est bouché par le muselet.

Sur la capsule de surbouchage représentée, il est imprimé "champagne" quand la plaque est sur une bouteille de champagne, et sur l'étiquette, l'ambiguité est levée par la même inscription " CHAMPAGNE".

Les plaques sont génériquées selon l'origine du produit qu'elles recouvrent.

Une Variante et les autres champagne BARBICHON

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Des plaques paraissent parfois invariantes et passent inaperçues dans les échanges pour bien des collectionneurs.

Dans le cas de cette plaque BARBICHON et Fils (domaine viticole à Férebrianges), il y a eu des évolutions au cours des productions successives.

Sur les rectos les variations sont subtiles dans les tons et un peu dans les diamètres du motif, mais ce n'est pas super pour les distinguer.

Sur les versos, au début il y avait de l'or, mais plus maintenant en 2016.

Sur les jupes, des caractères de tailles différentes sur les plaques fonds OR ont laissé place à une nouvelle fonte sur la plaque fond métal.
 
On notera l'apparition de l'accent.

Pour le téléphone hormis les tailles de caractères peu de changement visibles au premier abord.

Les changements majeurs sont finalement vraiment accessibles au premier coup d'oeil sur le nom de la maison.

Il est imprimé dorénavant "Et" à la place de "&".

C'est avec cela que l'on reconnaitra la dernière mouture en fevrier 2016.

Bonne chasse à tous.

l'oeuvre de Benjamin RABIER plaquettisée

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Des sujets à l'interface de plusieurs types de collection, il en existe très souvent. Nous sommes donc confrontés régulièrement à l'édition de ces plaques de Champagne qui intéressent deux mondes usuellement à visées différentes. Les placomusophiles et les férus d'un artiste, d'une activité, et autres, se trouvent alors à convoiter les mêmes objets. Cela amène parfois à une certaine rareté.

Pour le sujet du jour, des oeuvres de Benjamin Rabier ont fait l'objet de l'édition limitée de ces plaques de muselets. La convergence sera articulée autour des collectionneurs de plaques de muselets, des admirateurs de l'illustrateur, des collectionneurs de publicités et de leurs représentations.

Ce qui intéresse PPM, c'est l'origine des plaques et ce qu'elles représentent. Pour l'origine, figure un nom sur les jupes des plaques " Michel Martin", le mot Champagne et le nom de la commune de Janvry. Le tirage est prétendu limité, mais il parait probable que ce soit celui des bouteilles, tous les marchands de capsules de la sphère internet en proposant beaucoup à la vente de manière simultanée.

Deux plaques représentent des illustrations qui figurent sur des cartes publicitaires à collectionner plusieurs publicités figurent au verso sur ces cartes. Dans les deux cas la plaque reprend une partie du visuel de l'image initiale. Il se peut que ces illustrations figurent dans des contes et histoires de Monsieur Radier ( la trace n'a pas été retrouvée par nous à cet instant ). Joséphine la grenouille chevauche Perpétue la tortue, et le petit raton vogue dans un sabot de bois.

Les trois plaques suivantes sont raccordées à une publication de contes et histoires pour enfants dont les livres sont convoités par les collectionneurs d'ouvrages d'époques. Ils ont parfois fait l'objet de réédition.

Pour cette dernière plaque, la vache, c'est La source de la notoriété de Benjamin Rabier que nous abordons, par le biais de l'Histoire de France. Les commémorations du centenaire de la Grande Guerre sont de l'actualité directe pour cette plaque. Il ne s'agit pas d'une simple Vache qui rit, mais de la Wachkyrie RVF, ravitaillement en viande fraiche dont on peut lire l'histoire iCI. Merci à tous ces conservateurs passionnés du patrimoine collectif.

DONNARDEA et le Bréviaire GRIMANI

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Un bréviaire du XVI éme siècle riche en Enluminures, a été la source d'une série de plaque pour la maison italienne Donnardea.

des extractions des planches extraordinaires évoquant les travaux des champs à différentes saisons ont servi à la production de ces douze plaques.

Les Origines de la série Jeanne d'Arc 600 ans.

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La série bien connue des génériques pour les 600 ans de Jeanne d'arc, se présente comme des images de vitraux.

En fait il s'agit de réinterprétation d'oeuvres très emblématiques représentant l'héroine nationale.

Ainsi la plaque annotée jeune bergère, est à l'origine un tableau de 1887 réalisé par W.A. Bouguereau et portant le même intitulé.

On notera que sur la plaque a été reproduit la posture intégrale de la jeune fille, et tout cela transposé dans un style vitrail.

Vous pensez que c'est une coïncidence mais si l'on se préoccupe par exemple de la plaque intitulée les voix, on découvre un nouveau tableau à l'origine de la composition. Il s'agit d'une oeuvre éponyme de 1876 réalisé cette fois par Eugène Thirion. Cette oeuvre se trouve dans l'église Notre Dame de Chatou.

C'est une série de 6 plaques, il devient intéressant de s'interroger sur la suite.

La vie de Jeanne d'arc, a été émaillée de faits d'armes tels la prise d'Orléans. La plaque est une copie de la composition d'un autre vitrail qui se trouve en l'église Saint Sulpice de Fougères et qui date de 1919.

Là on voit que la diversité des sources permet d'obtenir une belle représentation de la vie de Jeanne. Un fait historique qui en fait une héroine champenoise, c'est l'action qui a amené au couronnement de Charles VII en l'église de Reims. L'oeuvre originale  de 1890 est située au Panthéon, c'est une peinture de Lenepveu, enfin !! pouvons nous dire !! En effet d'autres de ces plaques auraient pu être tirées des oeuvres de ce maitre de la fresque. Par exemple parmi les précédentes, la bergère ou bien la prise d'Orléans mais nous avons vu que ce n'était pas le cas.

Donc ce Lenepveu Eugène  avec ses fresques multiples a eu droit à un second détournement vitraillesque de l'une de ses fresques du Panthéon. nous verrons cela par la suite, puisque nous suivons ici une chronologie de l'histoire. Notre héroine après des péripéties historiques eut droit à un procés et cela a fait l'objet de la plaque suivante. La source de l'icone en question est subtile puisque cette fois, l'image originale est tirée d'un film de 1962 réalisé par Robert Bresson. la représentation est donc une reprise du buste de l'actrice Florence Delay depuis une immortelle de l'académie Française.

Toute cette histoire finira par la scène emblématique de la mort de Jeanne sur le bûcher, et nous retrouvons une plaque dans une composition identique à une fresque du Panthéon réalisée en 1890 par Eugène Lenepveu.

Planet Placomusophile est heureux de rendre à la placomusophilie un intérêt autre que bêtement commercial.

BOUILLOT LOUIS, des variantes

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Un petit tableau (au mois de Janvier 2016) regroupant des plaques de la maison BOUILLOT Louis qui ont les productions qui ont évoluées au cours des années.

Les variations des 3 couleurs principales distinguent des plaques probablement à répertorier indépendemment.

On peut voir toutes les plaques de ce producteur dans le répertoire du site PPM ICI

Un PUZZLE à étages

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Une nouvelle série de 6 plaques issue d'un tableau de Nina DAVID.

C'est un puzzle en cascade, 4 des plaques zoom dans le tableau d'une cinquième tandis que la sixièmeest un zoom de l'une des plaques zoomées.

Les plaques de ce producteur sont visibles au répertoire PPM en cliquant ICI

C'est une série très réussie du producteur MIGNON Philippe.

BRASSERIE SAINT BERNARDUS Capsules de biére

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Visite de la brasserie

Les dernières années la Brasserie St. Bernardus à Watou a subi une métamorphose: la brasserie s'est complétée avec l'implantation d'une houblonnière juste à côté de la brasserie, la construction des nouveaux magasins, d'un estaminet authentique ensemble avec une salle de dégustation.