Ce sont toutes de étoiles pointe en bas
Mais je n'arrive pas à les classer
Pour chacune d'elles je vous ai photographié le bouchon sauf deux .
Pour vous faciliter le travail je numérote chaque plaque
Merci d'avance .

N°1





N°2





N°3





N°4





N°5



N°6



N°7





Merci
Amitiés
René

Bonsoir,

Le retour des plaques BOLLINGER...
René, tu ne les a pas eu par Adrian KAPPELER ?
Normalement c'est toutes des n°18...
Lorsque l'on fait des échanges avec lui, on reçoit une copie de ce document:

Est-ce que tu crois que j'ai fait un post aussi long pour le plaisir !!!
Si j'ai posté tout ceci c'est qu'il y a des différences entre les plaques !!!!
Il y a surement une 18 ( bien que les dates des bouchons ne confirment pas du tout ce qui est écrit dans la bible puisque la 18 est daté 1979 )
En plus il y en a 2 les N°5 et 6 qui ne viennent pas d'Adrien
Donc , Messieurs au boulot !!!! faut-il que je sorte le fouet !!!
Amitiés
René

Bonjour
Quelques réflexions avant de se lancer dans un essai de classement!
En préambule nous sommes dans les décennies 50 à ....70..voire un peu plus (?)....
En 1: l'objet "la capsule" quelque soit son mode de fabrication doit avoir un coût le plus "modeste" possible. Surtout à une époque où la communication par l'objet était moindre qu'à nos jours.
En 2: Un des modes de réalisation est l'estampage. Cela nécessite un outillage conséquent,réalisation de moules avec des technicités particulières selon les résultats que l'on souhaite.
Plus la précision et l'enjeu d'utilisation seront importants, plus les mises en oeuvre de fabrication des "outils" seront précises et donc coûteuses.La précision absolue n'intervient que lorsque il y une utilité mécanique des pièces (le forgeage d'engrenages par exemple, le forgeage étant un dérivé de l'estampage),et ceci nécessitera plusieurs interventions avant d'obtenir les bons résultats mécaniques, ainsi que l'emploi de matériaux "chers et nobles" pour garder la précion de ce que l'on appellera "la gravure".

Ceci suffira pour dire que nous ne sommes pas dans ces cas de précisions absolues pour l'objet que nous étudions la capsule des années 50/60/70/80 voire 90.Il n'y a pas d'enjeu d'utilisation mécanique et deuxièmement le coût doit être modique
Donc produire une capsule estampée passe par des outils de qualités "inférieures" avec des matériaux simples et à l'utilisation simplifiée (peu d'opérations).Au même titre que le tampon,l'outil d'estampage s'émoussera au niveau de la "gravure"(le rendu) au fur et mesure de son travail.
Donc dans le "même genre de capsule" on pourrait dire que chaque capsule sera différente,l'outil se dégradant au fur et à mesure de son utilisation. (écrasements des crêtes et des redans,émoussage,etc....voire casse de l'outil de matriçage/estampage....).Ceci nécessitera "et aussi" la fabrication d'un nouvel outil aux caractéristiques proches mais surement pas identiques.......encore une fois la précision n'étant pas recherchée en ce domaine.

Ceci dit, il n'en reste pas moins que nous avons des "différences"à la "vue", et il semble intéressant de les notifier et "classer" par type d'autant plus que nous pouvons les identifier par "années".(en sachant que pour la même année il y aura là aussi des différences..........nous sommes loin de la numéro 18 et de la numéro 5 et 6...........les philatéliste l'ont compris depuis longtemps et parlent de catégories,séries,genres,type et d'années....voire du type de l'outil.......le numérotage ne vient qu'après l'examen de plusieurs milliers d'exemplaires et surtout après la recherche et la compréhension des causes et évènements industriels de production.Nous avons "cette chance "de pouvoir illustrer ces phénomènes et il me semble bon d'exposer ces capsules dans cette "direction de réflexion".Tout en sachant que la vérité du moment ne s'érigera jamais en certitude...........c'est pas à pas avec certaines évidences que l'on construit.............Modestie et remise en question obligent.

Patrice
PS ne pas oublier qu'au delà de l'estampage il y a le "formage" (emboutissage parallèle) du "bombé" qui lui aussi amène déformations du métal:étirage, décalage,et autres selon les métaux utilisés..........encore..........le positionnement du flan sur l'outil.............
Ceci étant encore plus sensible avec l'estampage(les deux liés ont des effets de déformations "imprévisibles)!On s'aperçoit bien des effets mécaniques de l'emboutissage avec la déformation du premier "L" de Bollinger plus ou moins prés de la pliure.........rien qu'ici des variantes et des variantes en perspectives.

J'ai échangé une 1975 sur le bouchon, je l'ai classée en N°19.
le O est oblong et pas rond, le N est large et pas étroit, donc selon la photo souslignée N°18 du bouquin, ce n'en est pas une. tout comme la N°3 de René, enfin je pense. Je vais vérifié mon classement dès que possible.

bonne journée à tous !!!

René protège ta tête !!!

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sarou écrit: PS 2 mille excuses mon post est fait en plusieurs épisodes
1969 est un "millésimé" de BOLLINGER avec bouteilles numérotées et dont la production serait de "3 à 5000" flacons........à vérifier 1969 sur le bouchon est il l'expression du millésime ?
d'une cuvée de 1969 la grade cuvée ? une année de production où une mise en bouteilles.......moi je n'ai pas de certitudes à ce sujet!

Merci Christophe !!! Je me demandais comment j'allais faire ....
Désolé de t'avoir donné du travail en plus ....
Amitiés
René
Je suggère que nous procèdions par " niveau ", c'est à dire que nous comparions les deux premières entre elles . puis la troisième et la quatrième Ect..Ect...
Ce qui nous permettra ( je le souhaite ) de dégager des caractéristiques communes à certaines plaques
Amitiés
René

Mistercaps écrit:
Alors!!!!!!! Verdict ....

Merci d'avance Arnaud ... là tu aides un vieux ... et la communauté !!!!
Amitiés
René

Voici ma mienne !!!!!
une 19 dans le bouquin ???

Décoller ???? des clous !!!!!!

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